Acheter une maison à l’étranger : le guide

Publié le : 02 avril 20215 mins de lecture

De plus en plus d’Italiens aspirent à acheter une maison à l’étranger. Certains font ce choix comme un simple investissement immobilier, mais ce ne sont pas nos compatriotes, surtout les retraités, qui manquent, car ils achètent une maison pour y installer leur résidence.

Acheter à l’étranger peut être pratique, car les procédures bureaucratiques sont souvent plus légères et moins lourdes qu’avec nous. De plus, même si le marché immobilier se redresse un peu partout en Europe, en Italie, il peine à décoller en raison de plusieurs problèmes.

Il n’est pas nécessaire d’être riche pour franchir ce pas. Même ceux qui n’ont pas de liquidités immédiates peuvent prendre une hypothèque sur l’entreprise.

Toutefois, avant d’agir, il est bon de se renseigner en détail, car les exigences administratives et fiscales peuvent être très différentes de celles de notre pays, et de se renseigner le plus possible sur le pays dans lequel vous avez l’intention d’effectuer l’investissement.

Acheter une maison à l’étranger avec un prêt hypothécaire

Pour le choix de l’établissement de crédit, il serait en théorie possible de s’adresser à n’importe quelle banque (lorsque l’achat est effectué dans les pays de l’Union européenne) car il n’y a pas de limitations particulières.

Cependant, les banques sont assez réticentes à accorder le prêt lorsque l’achat est effectué dans un autre pays, car un certain nombre de facteurs n’offrent que peu de sécurité.

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1ère SOLUTION : prêt hypothécaire contracté en Italie

Une façon d’obtenir un prêt des banques italiennes à utiliser à cette fin est de demander un prêt de trésorerie, c’est-à-dire le type de financement pour lequel il n’est pas nécessaire de préciser le but.

La condition pour l’obtenir est toutefois de posséder un bien immobilier situé en ITALIE libre d’hypothèques à titre de garantie.

Le prêt de trésorerie permet d’accéder à un financement plus élevé, qui peut aller jusqu’à 1 million d’euros, mais dont les taux d’intérêt sont plus élevés et la durée d’octroi plus longue.

Il faut ensuite ajouter tous les frais supplémentaires nécessaires à la stipulation.

Le type de contrat de travail du demandeur détermine le capital maximum que la banque est prête à rembourser.

DANS LA LIGNE MAXIMALE : un employé peut obtenir jusqu’à 70 el valeur commerciale de la propriété, tandis que pour un indépendant ou un entrepreneur l’hypothèque ne dépassera pas 50%.

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2e SOLUTION : prêt hypothécaire contracté dans le pays où vous achetez

Le coût de l’achat d’une maison à l’étranger peut être très élevé. Pour essayer d’économiser de l’argent, il est possible de se renseigner sur le coût de l’enquête à réaliser sur le bien acheté ou sur les éventuelles incitations offertes dans les différents pays sous certaines conditions.

Il est donc conseillé de faire appel à des banques internationales qui ont des succursales à la fois en Italie et dans les pays où vous avez l’intention d’acheter.

La procédure est ainsi simplifiée, car l’acheteur peut suivre la pratique depuis son domicile, tandis que l’évaluation peut être effectuée directement sur place.

La meilleure solution serait de s’adresser directement à une banque étrangère, avec des économies financières et une bureaucratie souvent plus simple.

Mais l’inconvénient est que vous devez faire face à une autre langue, ce qui, lorsqu’il s’agit d’interpréter un contrat avec toutes ses chicanes, peut être particulièrement difficile. C’est pourquoi il est conseillé de n’opter pour ce choix que si vous disposez d’un interprète de confiance.

Une bonne solution consiste à contacter une agence immobilière. Vous n’avez pas besoin d’en choisir un dans le pays où vous voulez acheter. En fait, il existe également en Italie des agences spécialisées dans l’achat et la vente de biens immobiliers à l’étranger. Vous pouvez ainsi être assisté dans tous les aspects bureaucratiques, comme la nécessité d’ouvrir un compte courant à l’étranger.

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